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Minotier et négociant en charbon

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Enfance et jeunesse

Vie familiale

Minotier et négociant en charbon

Marchand de curiosités

Conservateur ou dilapidateur du patrimoine régional ?

Après son bref passage à la faculté de droit, Fernand Pifteau travaille dans la minoterie, au moins à partir de 1886. En 1889, il est cité comme référence dans une publicité pour la maison Jules Sloan (supplément au Journal de la minoterie, avril 1890). Mais il cesse son activité à cette période et recherche une nouvelle situation.

Après son bref passage à la faculté de droit, Fernand Pifteau travaille dans la minoterie, au moins à partir de 1886. En 1889, il est cité comme référence dans une publicité pour la maison Jules Sloan (supplément au Journal de la minoterie, avril 1890). Mais il cesse son activité à cette période et recherche une nouvelle situation.

En 1892, on le retrouve dans le Tarn, à Saint-Sulpice, où M. Dausset, constructeur à Tarbes, implante avec son aide une entreprise de fabrication et de commercialisation de moulins à farine. Mais leur association semble tourner court en 1893, à son détriment.

En 1896, il reprend (ou poursuit?) une activité de négociant en matériel de minoterie à Saint-Sulpice. Il revient sur Toulouse en 1904 et débute peut-être alors son activité de négociant en charbon, attestée au moins à partir de 1910. Ce commerce, qu’il délègue à la fin des années 1920 à son gendre Alfred Laporte, paraît avoir été assez actif. 

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